Nicolas Thunin nous le rappelle ici, Dieu nous a rejoint, il ne s’est pas contenté de venir au milieu de nous, il est allé jusqu’à la blessure, jusqu’à la croix.
Il y a dans nos vies des blessures qui sont bonnes et des blessures qui sont mauvaises. Une meurtrissure est une blessure ouverte et il y a deux choses à comprendre :
- La substitution: Jésus a pris notre place, c’est le principe de l’antivirus… il va jusqu’à la mort pour nous amener à la guérison.
- l’identification: À nous de nous identifier à sa souffrance pour que nous suivions ses traces.
Le Seigneur soigne, oui mais il y a des opérations, des blessures qui nous sont nécessaires.